Dès leur arrivée au pouvoir (1949), les communistes mettent tout en œuvre pour faire disparaître l’Église en Chine. Afin de briser la résistance héroïque des catholiques, un moyen se révèle plus redoutable et plus efficace encore que l’emprisonnement, la torture ou la mort : diviser les catholiques en les incitant à se séparer de Rome.
Pie XII, le cœur déchiré, ne reste pas muet face à ces agressions. Dans l’encyclique Ad Apostolorum Principis, il condamne les attentats perpétrés contre l’unité de l’Église. Sans une ride, les vérités qu’il expose comme motifs gardent leur pleine valeur universelle et divine.
Nouvelle traduction en regard de l’original latin, précédée d’une introduction historique.